Musique : Aïcha Koné rend hommage à Assimi Goïta
‘’Digne fils de l’Afrique’’, c’est le titre de la nouvelle chanson de la cantatrice ivoirienne, Aicha Koné, en hommage au président de la transition du Mali, le colonel Assimi Goïta. Interrogé sur Renouveau FM, l’artiste chanteuse a souligné que le chef d’Etat malien est une fierté pour toute l’Afrique.
En dépit de la brouille actuelle entre le Mali et la Côte d’Ivoire autours des 49 militaires ivoiriens arrêtés au Mali, la chanteuse ivoirienne Aicha Koné dédie une chanson au président de la transition du Mali, le col. Assimi Goïta. Cette chanson intitulée « Digne Fils d’Afrique » rend un vibrant hommage au combat patriotique et souverainiste du Col. Assimi Goïta et l’ensemble de son gouvernement. Contactée par Renouveau FM, Aicha Koné a levé l’ambigüité que cette chanson n’a aucun rapport avec l’histoire des 49 militaires détenus au Mali. D’ailleurs, selon elle, l’histoire des 49 militaires est une affaire politique sur laquelle elle n’aime pas intervenir. Elle s’est juste contentée de formuler des vœux pour un dénouement heureux de la crise qui oppose le Mali et la Côte d’Ivoire, ses deux pays.
Sinon, selon elle, cette chanson sur le président Assimi Goïta est juste une expression de son émotion personnelle, en tant panafricaine suite au « vent du changement », « le vent de la liberté » qui souffle actuellement du Mali vers toute l’Afrique.
Bien qu’ivoirienne d’origine, l’artiste chanteuse se considère aussi comme une Africaine. C’est pourquoi elle estime que le combat souverainiste que mènent actuellement les autorités de la transition du Mali doit être soutenu et accompagné par tous les Africains qui aspirent pour une Afrique libre et respectée de par le monde entier.
Elle n’a pas manqué de faire savoir que l’Afrique a besoin des dirigeants comme le président de la transition du Mali, le Col. Assimi Goïta ; des dirigeants qui prennent non seulement en compte les aspirations de leurs peuples, mais qui se battent aussi pour garantir à l’Afrique toute entière sa liberté et sa souveraineté.
Issa Djiguiba
Source : LE PAYS